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mes fictions en faction
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28 novembre 2008

Nouvelle vie ch4

Chapitre 4: les au revoir.

Le mois passa, a une vitesse, laissant peu de temps à Ginger de profiter de son ami David, elle lui avait raconter sa rencontre avec son grand père puis elle avait décrit le chemin de commerce. David avait été heureux d’apprendre qu’il la reverrais à noël et quand plus il était inviter a faire la connaissance de sa famille.
Ils était entrain de marcher près de l’étang du domaine, quand le belle mère de Ginger les appela, ils coururent jusqu’à la maison où les attendait la grande brune au visage inexpressif, elle les arrête avant qu’ils n’entre dans le couloir:
-Attendez! Ginger tu va aller tout de suite préparer tes affaires pour la pension, je ne veux pas avoir a faire attendre ton père demain.

La belle mère tourna les talons et rentra dans la maison sans plus faire attention à la jeune fille.
Ginger la regarda puis attrapa son ami par le bras et l’entraina sur le coté:
David la regardait perplexe:
-Tu va en pension
La jeune fille soupira:
-Mais non c’est une excuse pour cette femme, mon père n’allait pas lui dire que j’allais dans une école de magie alors il a choisi de dire que je partais en pension, d’ailleur cela lui a fait très plaisir de savoir que je partait.
David lui jeta un regard sévère:
-Tu es méchante je suis sure qu’elle tien à toi enfin a sa façon comme mes parents tienne a moi.
Ginger compris le message et s’excusa devant son ami dont les parents travaillait comme des forçat pour le nourrir et lui donner une bonne éducation, cela lui fit regarder autour d’elle.
Ginger avait toujours la belle vie, malgré le deuil de sa mère la jeune fille avait été choyer par son père et c’est pour elle qu’il avait choisi de se remarier.
La voix de David la fit revenir à la réalité:
-Je vais rentrer pour te laisser te préparer. On se reverra avant ton départ?

Ginger regarda son ami et eut un pincement au cœur en se souvenant qu’elle ne pourrais plus jouer avec lui avant les vacance de noël:
-Tu peux rester si tu veux tu m’aidera à ranger ma malle et je te montrerais mes affaires!

Le jeune garçon regarda en direction d’une fenêtre et déclina l’invitation:
-Je ne pense pas que ta belle mère soit d’accord et si je vais dans ta chambre tu risque d’avoir des ennuis.

La jeune fille se rappela qu’une fois elle avait été découverte entrain de jouer à cache- cache dans la maison et sa belle mère en avait fait tout une histoire allant même jusqu’à accuser le jeune garçon de voleur:
-Tu as raison mais je ne sais pas à quelle heure je pars alors je ne pense pas qu’on puissent se voir avant mon départ.
Les deux enfants était triste de se séparer et ce fut la première fois que David la prit dans ses bras pour lui dire au revoir.
Serrer l’un contre l’autre, ils restèrent un moment enlacé puis se séparèrent. David avait le visage tout rouge et Ginger était gêner de ce geste d’affection mais elle lui fit une bise sur la joue avant de se ruée dans la maison par une baie vitré, elle se retourna dans l’embrassure et lui fit de grand geste en lui disant qu’ils se reverrait bientôt.

Le soir alors que Ginger vérifiait pour la énième fois si tout était dans sa malle, son père entra dans la chambre et s’assit sur le lit:
-Tu es prête pour demain?
Ginger regarda son père et lui vit pour la première fois un regard inquiet et triste:
-Oui j’ai tout…
Elle hésita puis après un regard vers la porte fermé demanda:
-Comment allons nous faire avec elle? Elle voudra surement m’accompagner à la gare?

Son père ne fit pas allusion au elle et lui répondit:
-Nous partirons  l’aube et connaissant sa personnalité ta mère ne voudra surement pas venir, je t’accompagnerais jusqu’au quai et ensuite nous ne nous reverrons qu’au vacances de noël.

Un sentiment de solitude s’insinua dans le cœur de Ginger elle avait conscience qu’elle ne verrais pas sa famille pendant4 mois mais la séparation avec son père lui était beaucoup plus pénible.
Courageusement elle se forma un masque et lui dit:
-Je suis sure que je me ferais beaucoup d’amies et le temps passera vite.

Rassurer mais peu enclin a croire à la joie de sa fille, Paul se leva et alla jusqu’à la porte mais il ne sorti pas tout de suite il contempla l’entre de sa fille puis après avoir ouvert la porte il lui dit avec un sourire taquin:
-Tu va me manquer; allez au lit! on se lève tôt demain.

Il referma la porte derrière lui laissant sa file seule avec ses doutes. Ginger se changea et s’allongea sur son lit elle vérifia une dernière fois si la photo de sa mère était bien dans la poche de sa veste avec la boite contenant la baguette magique de sa mère puis s’endormi après avoir laisser couler quelque larmes.

Le lendemain, comme l’avait prévu Paul, la belle mère de Ginger refusa de les accompagner, elle fit semblant d’être triste de voir la jeune fille partir et la prit dans ses bras. Ginger senti des larmes lui picoter les yeux mais les refoula, elle aida son père à ranger ses affaires dans le coffres de la voiture puis ils prirent la route. Arrivée à la grille Ginger aperçut David cacher derrière un buissons et lui fit des signes. Le jeune homme y répondit et regarda la voiture s’éloigner avant de retourner chez lui.
Dans la voiture, Paul brisa le silence:
-J’ai changer d’avis sur ce jeune garçon, il est plutôt sympathique.

Ginger qui savait que son père disait rarement ses pensées fut très heureuse:
-Merci papa, David m’es très précieux je suis heureuse que tu l’aime bien.

Le trajet jusqu’à la gare de Londres se fit rapidement mais dans une atmosphère des plus étrange le père et la fille n’avait que peu parler conscient que aucune parole ne pourrais plus les rapprocher que celle qui avait été dites au début du voyage.
Arriver à la gare Ginger se senti tout petite, les verrière était hautes et les gens presser heureusement qu’elle avait son père avec elle pour la rattraper quand quelqu’un la bousculait.
Paul poussait le chariot et demanda à sa fille de le tenir puis après avoir été dans un endroit où ils y avait peu de monde il se dirigea vers une alcôve et poussa le chariot contre le mur Ginger aurait voulu l’arrêter mais elle vit que le chariot disparaissait petite à petite à travers le mur. Elle suivit son père et passa comme un fantôme a travers le mur de l’autre coté un train était stationner et sur le quai des enfants montait et descendait embrassait leur parent ou encore parlait entre eux. Ginger regarda autour d’elle puis suivit son père qui l’emmena vers les wagon:
-Tiens voila un compartiments vide tu y sera bien.

La jeune fille aida son père à hisser a malle dans le compartiments puis resta près de lui:
-Je ne veux pas partir;

Paul s’accroupi et prit Ginger dans ses bras:
Ne t’inquiète pas je t’enverrais des lettre chaque jours et tu reviens dans quatre mois .

La jeune fille senti des larmes sur ses joues et reniflant demanda:
-Comment j vais faire je n’es pas de chouette ?

A ce moment une chouette grise arriva et se posa sur l’épaule de Paul avec un message à la patte il prit le message et renvoya l’oiseau:
-Voilà la réponse.

Il tendit le message à sa fille qui le lut:
«La chouette effraie (photo jointe) que vous avez commander à bien été livrer aux château tout le nécessaire à été fait selon vos désires. Vous souhaitant bonne réception. Lucas du magasin du hibou»
La jeune fille regarda son père et lui sauta dans les bras:
-Merci papa, je vais pouvoir t’écrire tout les jours.

Elle regarda la photo, son père la regarda et lui indiqua:
-Normalement elle devrait te trouver mais il va falloir lui trouver un nom. Ensuite tu écrit juste mon nom sur l’enveloppe, elle me trouvera sans problème.

La jeune fille n’eut pas le temps de demander d’explication, que le train faisait entendre son sifflet.
Ginger embrassa son père puis monta dans le wagon et par la fenêtre lui demanda:
-Mais pour ma belle mère?

Paul compris ses inquiétudes et lui répondit en criant dans le vacarme du train qui s’ébranlait:
-J’en fait mon affaire. A bientôt et amuse toi bien.

Ginger resta à la fenêtre du compartiment jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus voir le quai. Après elle alla s’asseoir et regarda les paysages qui défilait devant ses yeux.

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