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mes fictions en faction

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1 septembre 2010

Liaison interdite ch7

Chapitre 7

Sur la table de travail, il y avait une boite entourer de papier kraft, Josh regarda le mot et vit que cela venait d’Edouard, il ouvrit la boite et découvrir un cadre avec une photo de son groupe préférer dédicacer un papier tomba et il lut: « comme convenue voila la dédicace que je voulait te montrer n’ayant pas vraiment d’intérêt pour ce groupe je te l’offre. ED »
Josh regarda la signature et la dédicace qui disait: « pour un fan les Swelty »
Le cadre état patiner couleur or et Josh malgré son bonheur décida de rendre se cadeau à son propriétaire.
À l’heure du déjeuner Josh fit le tour de la cafète mais Edouard n’y était pas alors il monta directement à son bureau

Edouard avait un coin à lui au deuxième étage un bureau de style moderne avec des casier un peu partout en entrant Josh eut la surprise de trouver celui qu’il chercher entrain de tapoter sur le clavier de son ordinateur.
Un raclement de gorge annonça son arriver et Edouard leva la tête de son travail:
-Josh quel surprise! Qu’Est-ce qui t’amène?

Josh entra dans la pièce et déposa sur le bureau le cadre.
-Je suis venu te rapporter ceci

Le regard surpris d’Edouard fit l’effet d’une claque au jeune homme il ne pensait pas que le comptable aurait cru qu’il accepterais un cadeau pareil alors qu’il ne se connaissait que depuis peu:
-Pourquoi? Quand on s’est vu au « chandail » tu m’a dit que tu adorait ce groupe?
-Oui mais je ne peux pas accepter un cadeau pareille il l’on signé pour toi et non pour moi.

Edouard tenta de minimiser le cadeaux:
-Je ne l’aurais pas eu si une amie ne m’avait pas trainer la bas et comme je ne les aime pas tellement je pensait te faire plaisir.
-C’est très généreux mais étant donner que nous venons de faire connaissance je trouve déplacer d’accepter.

Edouard eut l’air de comprendre et repris le cadre:
-Bien d’accord mais je compte bien trouver une façon de te le donner.
Cette réplique eut surement l’effet escompté car la rougeur qui montait au joues de Josh et son air surpris fit sourire son vis-à-vis.

Josh sorti du bureau et retourna travailler
Quand à la fin de la journée il se prépara à s’en aller, Edouard l’attendait dans le hall, mais ce fut l’apparition de Flavien qui lui coupa le souffle:
-Flavien! Qu’Est-ce qui t’arrive, Qu’Est-ce qui se passe?

Voyant l’air inquiet de son cousin, Flavien le rassura:
-Il n’y a rien, je viens de voir mon père et il nous invite a passer le prochain week-end au domaine, comme je n’était pas très loin je suis venu te chercher.
Souriant, Josh hocha la tête et suivit son cousin. Dans le fond du hall, Edouard, regardait le couple et eut un sourire tyrannique, Voyant Sarah arriver il lui proposa d’aller boire un verre et ensemble il sortir du bâtiment.

Dans la voiture qui les ramenait à l’appartement de Josh, Flavien garda le silence attendant que son cousin parle puis n’y tenant plus, il demanda:
-Ta journée c’est bien passé?
Josh qui ne savait comment s’excuser, sursauta et répondit:
-Oui très bien même si j’ai eu une mauvaise surprise en arrivant enfin c’est réglé.

Flavien le regarda puis la curiosité prenant le dessus questionna:
-Ah bon quel genre de mauvaise surprise?

-Oh! rien de bien intéressant .. Et toi ta journée tu as vu ton père comment va t il?

Le changement de sujet titilla Flav. mais il ne le fit pas remarquer:
-Il va bien, l’idée de la retraite le rajeuni. Il a trouvé le moyen de me laisser encore un an et ensuite je reprend le domaine.

Sachant la passion de son cousin pour les voyages, Joshua ne fut pas surpris de voir la lueur d’excitation qui brillait dans son regard
-Tu repart alors

-Oui, j’ai un dernier travail a effectuer ensuite je serais libre et ferais ce que mon père a toujours voulu, je reprend le domaine.

Cette décision fit de la peine à Josh, comment réussirais-t-il a vivre sans Flav pendant un an. Même si ils n’avait pas encore parler de leur sentiments, Josh était certain que leur amour était réciproque.

Arrivé a l’appartement, Josh s’excusa et alla se doucher, le jet frais lui fit du bien mais le fait qu’il allait encore être séparer de son cousin, sans lui avoir avoué ses sentiments lui serra le cœur.
Quand enfin il sorti de la salle de bain il découvrit Flavien assis dans le canapé un album photo ouvert devant lui
-Tu as trouver ça où?

Absorber par les photo Flav. n’entendit pas son cousin entrer dan s la pièce et sursauta quand il se fit interpeler. Bégayant il fit remarquer:
-Je cherchait un film quand je suis tomber dessus dissimulé derrière un film d’action.

Josh soupira en se souvenant qu’il avait mis l’album derrière les film qu’il ne regardait jamais, pour l’oublier, se qui était arriver jusqu’à l’arriver de Flavien.
Il s’assit a coté de son cousin et regarda la photo visible, c’était un cliché des deux garçon après une exploration de grotte, ils était couvert de boue et d’égratignures mais riaient. A coté une photo de Joshua et sa famille avant la naissance de Yoni.
Flav tourna la page avec l’assentiment de son cousin et tomba sur la seul photo de Joshua et Sarah enlacé devant un arbre de cerisiers en fleurs.
-Vous aviez l’air heureux, pourquoi avoir décider de vous séparer?
Josh contempla la photo et répondit sans une nuance de regret:
-On était perdu et ensemble on s’est fait une place, j’ai beaucoup de respect pour Sarah, je l’aimait a ma façon. De son coté s’était pareil, elle rêvait de liberté, d’amusement et s’est lasser des soirées en tête a tête au resto. Quand on a commencer a se disputer pour des broutilles on s’est séparer.

Flav. senti comme une rupture dans la voix de son cousin mais ne dit rien.
Il tourna une autre page puis posa l’album sur la table basse. Il alla a la cuisine et rapporta deux cafés. Josh le remercia et lui parla de sa journée ainsi que de l’incident avec Eduard.

Flavien s’assit à ses cotés et lui demanda:
-Et c’est homme avec qui tu étais l’autre soir

Josh fut surpris mais déclara
-Oui! Edouard, c’est le comptable de la boite, il est un peu collant mais c’est un bon gars, d’ailleurs je crois que Sarah a des vues sur lui. Je les ai vu ensemble cet après midi.

Flav laissa le sujet en suspend de peur de se brouiller avec son cousin alors qu’il arrivait a se parler sans tension. Mais presser d’être au week- end pour pouvoir se ressourcer.

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18 août 2010

la confiance (fin)

Jake se releva péniblement, regarda le couple enlacée avec frayeur puis se sauva en titubant tout en murmurant des paroles de revanche.
Jérôme appris bien plus tard que son ex avait été arrêter pour proxénétisme et séquestration de jeunes.
Clark renouvela sa demande auprès des parents de Jérôme en sa présence et celui-ci accepta
Mr Figer s’avança vers son fils et lui dit:
-Je suis désolé pour ce qui s’est passer j’ai essayer de me racheter mais je n’es pas réussi je te souhaite plein de bonheur.

Jérôme regarda son père et voyant son regard larmoyant il le prit dans ses bras.
-Je n’avais pas compris ton comportement envers moi, maman m’a un peu éclairer l’autre jour. Tu sais, je t’aime, papa.

Les deux se serrèrent sous les yeux de Mme figer et de Clark.
Clark accompagne Jérôme jusqu’a un immeuble puis le précéda dans le hall.
-J’espère que cet endroit ne t’impressionne pas trop parce que j’y habite et c’est ici que tu va habiter aussi.

Bien qu’il ne compris pas l’allusion, Jérôme eu un pas hésitant puis regardant autour de lui il se dit que c’était bien assez grand pour qu’il y ai plusieurs logements.
Clark passa a la réception, prendre ses messages puis après avoir présenter le jeune homme continua sa route. Ils montèrent dans un ascenseur et Clark sorti une clé qu’il inséra à l’emplacement du bouton du dernière étage tout en expliquant:
-Je me suis garder le dernier c’est le seul moyen d’y parvenir je te donnerais un double.

Inquiet Jérôme regarda Clark puis la clé avant de comprendre
-Vous êtes entrain de me dire que je vais habiter chez vous?
Clark regarda Jérôme lui sourit et lui répondit:
-Bien sure je ne te l’avais pas dit?

Abasourdi, Jérôme senti l’ascenseur s’arrêter puis vit les portes s’ouvrir le soleil l’ébloui une seconde puis il vit le ciel si bleu a travers les baies vitrée. Voyant qu’il ne bougeai pas Clark le pris par la taille et l’aida  a entrée
Bienvenue chez toi! Alors tu veux que je te fasse visiter
Jérôme regarda autour de lui puis Clark et demanda:
-Pourquoi?

Devant le regard surpris de Clark Jérôme continua:
-Pourquoi faites vous tous ça pour moi? On se connait a peine.
Clark se senti faiblir devant l’expression de Jérôme, il le prit dans ses bras et le serra contre lui déposant un baiser dans ses cheveux:
-J’ai eu l’impression de te connaitre depuis longtemps quand je t’ai vu assis sur le pont, ensuite j’ai eu la peur de ma vie quand tu es tomber jamais je n’avais ressenti quelque chose comme ça j’ai chercher a en savoir plus sur toi sans vraiment savoir pourquoi. Quand je t’es vu dans se parc arriver en pleurs, je n’avais qu’une envie tuer celui qui t’avait fait de la peine et être celui qui te réconforterais. C’est a ce moment là que j’ai compris.

Il repris son souffle et observa le visage bouleverser de Jérôme avant de continuer:
-Je t’aime.

Jérôme heureux mais embarrasser par la tournure que prenait les choses senti son cœur bondir dans sa poitrine. Il se senti si heureux qu’il prit peur et se libera de Clark:
-Ce n’est pas possible, je ne peux pas accepter. Je suis un homme et vous aussi on se connait a peine..

Le jeune homme regarda autour de lui puis s’écria:
-Vous êtes comme les autres au début vous me donner du bonheur puis ensuite vous me montrez combien vous me haïssez. Je ne veux plus revivre ça je vous en prie laissez moi partir.

Jérôme se dirigea vers l’ascenseur mais Clark lui coupa la route.
-Je comprend que cela t’effraie mais je n’es pas l’intension de te faire de la peine. Il y a plusieurs chambre dans cette appartement et toute ferme à clé. Je ne veux pas t’imposer mes sentiments, j’attendrais que tu sois sure et que tu sois près a accepter ce que je t’offre. Si malgré tout tu ne ressent pas la même chose que moi alors je te laisserais partir. Je te demande juste de me laisser une chance de te rendre heureux.

Jérôme se senti encore plus perdu, son cœur battait la chamade et ses mains tremblaient il se laissa faire quand Clark l’obligea à s’installer sur le canapé du salon.
Le téléphone sonna et Clark alla répondre, pendant ce temps le jeune homme fit le tour de l’appartement il découvrit trois chambres dont les portes avaient des serrures. Il resta a la porte de la troisième elle était si différente des deux autre qu’il compris que c’était celle de Clark.
Le propriétaire des lieux le trouva sur le seuil de sa chambre et sans s’offusquer demanda:
-Laquelle as-tu choisi?

Jérôme ne compris pas tout de suite que Clark était a coté de lui il sursauta et bafouilla
-Je suis désolé je n’avais pas l’intension de fouiller.

Clark l’arrêta d’un geste:
-Tu va habiter ici, il es normal que tu connaisse les lieux. Bon alors ça te plait?

Bien que gêné, Jérôme répondit:
-Oui c’est magnifique

Clark le ramena au salon ou il avait dépose sur une table basse une cafetière et des tasses
-j’espère que ça ne te gène pas, il va falloir que je te laisse seul. J’ai un rendez-vous important demain on verra tes capacité puis je te montrerais ton poste de travail en attendant fais comme chez toi

Clark se leva après avoir déposer un baiser sur les cheveux de Jérôme puis s’en alla.
Le jeune homme profita de sa solitude pour visiter l’appartement et pour comprendre ses sentiments. Il était heureux, il sentait que Clark était sincère, d’ailleurs il se sentait en sécurité près de cet homme. Mais tout ça n’était il qu’un rêve, un jour tout disparaitrait. 
Les jours se succédèrent pendant lesquelles Jérôme appris a connaitre Clark.
Celui-ci n’était pas qu’un simple dirigeant d’entreprise, il était aussi pompier volontaire, ce qu’il l’obligeait a interrompre des soirée pour aller en intervention.
Le jeune homme si était fait mais cela ne l’empêchait pas de s’inquiéter et de regarder les informations en quête d’un soulagements.
Un soir, où Clark avait été appeler interrompant une réunion d’organisation, Jérôme se mit a regarder un film en l’attendant quand soudain un flash spéciale annonçant l’explosion d’un train de produit toxique, interrompit le programme.
Les nerfs de Jérôme était tendu et quand le journaliste montra des images d’un pompier grièvement blesser les larmes coulèrent sur ses joues.
Les portes de l’ascenseur s’ouvrir et Jérôme se précipita dans les bras de Clark qui surpris resserra son étreinte et demanda:
-Qu’Est-ce qui t’arrive? Il s’est passer quelque chose?

Jérôme ne répondit pas alors Clark le prit dans ses bras et le porta sur le canapé. Voyant les image a la tv il compris et éteignit le poste:
-Tu t’es inquiéter pour moi? C’est gentil mais il ne fallait pas

Jérôme se décrocha enfin des bras de Clark puis le visage fermer déclara:
-C’est normal que je m’inquiète pour celui que j’aime …

Il se rendit compte trop tard qu’il avait laisser échapper les mots qu’il redoutait tant.
Clark sourit , le remercia et l’embrassa avec passion. Quand il se redressa il regarda les yeux pétillant de désir du jeune homme et déclara:
-Je t’aime tellement, je ne peux plus attendre.

Jérôme encore sous le coup du baiser ne protesta pas quand Clark le souleva et le porta jusqu’à sa chambre où il le déposa sur le lit.
Il ne protesta pas plus quand Clark lui ôta son tee-shirt mais il redit les mots qu’il avait eu tant de mal a exprimer:
-Je t’aime.

Amoureux et heureux, Clark et Jérôme s’unirent enfin, et ensemble voyagèrent jusqu’au septième ciel.

17 août 2010

la confiance (part4)

Arrivé a l’adresse indiqué sur la carte de visite, Jérôme n’en crut pas ses yeux, un immeuble de quatre étage tout en verre il entra et s’informa auprès de la secrétaire d’accueil si il était bien au bon endroit. celle-ci lui indiqua que le bureau de Mr Pein était au 2e étage et qu’il était attendu. Le jeune homme pris l’ascenseur, au 2eme une secrétaire lui indiqua un couloir et il arriva rapidement devant une double porte en bois, il frappa et entra après en avoir été invité.
Clark était assis a son bureau et se leva en le voyant entrer. Après l’avoir sauve puis lui avoir rendue visite Clark avait pris conscience que le jeune homme ne quittais jamais ses pensées. Il voulait en avoir le cœur net et c’est pour cette raison qu’il lui proposait un travail. Si il le fallait il irais jusqu’à l’héberger chez lui.
-Jérôme, ponctuel c’est très bien. Comment va tu?

Clark se leva, contourna son bureau et s’avança vers le jeune homme.
Jérôme le salua et le suivi jusqu’à une chaise où il s’assit. Après avoir repris sa respiration pour calmer son cœur Jérôme se lança/
-Mes parents m’ont dit que vous aviez une proposition à me faire? J’aimerais en savoir plus.

En bon directeur, Clark s’attendait a avoir quelqu’un de direct en face de lui:
-c’est simple, je t’offre un travail mieux payé j’ai aussi dit a tes parents que si tu voulait je te trouverais un logement
Jérôme le regarda bouche Béa
-Mais pourquoi faites vous ça vous m’avez sauvé d’accord mais vous n’êtes pas obliger de vous immiscé dans ma vie.
Clark le regarda dans les yeux, Jérôme fut comme hypnotisé par se regard, et lui expliqua après un moment de silence:
-C‘est vrai j‘aurais pu te laisser après t‘avoir déposer sur la route et filer mon chemin sauf que je ne suis pas quelqu‘un qui disparait. J‘ai appris par hasard que tes parents avait des soucis financier et que malgré l‘arrêt de tes études cela ne s‘est pas arranger.

Jérôme qui s’était calmé senti la colère remonté:
-De quel droit, avez-vous fouillé dans ma vie, je ne vous est rien demandé. Je ne veux pas de votre pitié!

Le jeune homme s’était levé et après un dernier regard sorti du bureau. Il ne savait pas pourquoi il avait réagi ainsi, son cœur lui avait fait mal en pensant que c’était de la pitié. Les mots était sorti tout seul et maintenant il se demandait si il reverrait Clark, un jour.
Seul sur le trottoir, Jérôme regarda l’immeuble puis se souvenant de Jake, il fila au parc.
Dans son bureau, Clark souriait sans savoir pourquoi. Voir Jérôme  se mettre en colère l’avait rendu heureux. Il savait qu’il y avait quelque chose entre eux mais la distance qui les séparait était encore longue, il réussirait a se faire aimer sans brusquer le jeune homme.

Au parc, Jake était arriver en avance, il attendait assis sur un banc en se disant que l’attitude de Jérôme n’était que passager et qu’il reviendrait bientôt.
Il le vit enfin entrer dans le parc, il se leva et alla le rejoindre:
-Jérôme je suis là, alors ça va?

L’arrivant regarda Jake et alla droit au but:
-J’ai mal commencer ma journée alors, de quoi voulais tu me parler?

Jake regarda son bien et lui indiqua le banc qu’il venait de quitter a peine visible derrière des feuillus.
-Allons nous asseoir ce sera plus agréable pour parler.

Jérôme accepta, non sans être sur ses gardes, et plus par besoin de repos que par intérêt réel.
Le barman s’assit et allongea son bras sur le dossier du banc derrière le dos de Jérôme. Celui-ci s’en aperçut et refoula l’envie de s’écarter.
Jake prit Jérôme par l’épaule et l’attira plus près de lui:
-On est pas bien tous les deux, Pourquoi veut tu tout arrêter?

Bien qu’insensible aux paroles douce et au geste de Jake, Jérôme eut un frisson
-C’est fini tu as choisi la serveuse je vous es vu dans la remise.

Jake eu un moment d’hésitation puis nonchalamment caressa l’épaule du jeune homme
-Mais ce n’es pas sérieux avec elle ça fait au moment qu’elle m’aguiche je lui es donner ce qu’elle voulait c’est tout
Jérôme se sentit encore plus écœurer il ôta la main de Jake et se leva:
-C’est encore pire si c’est comme ça que tu considère une relation, alors c’est réellement fini je ne veux pas de quelqu’un qui me trahi dès la première occasion.

Jake se leva a son tour et attrapa Jérôme par le bras
-C’est quoi ces conneries? Depuis quand on a une relation sérieuse, on ne s’est jamais jurer fidélité, mais on était d’accord pour se donner du bon temps quand on en avait envie.
Jake attira Jérôme dans ses bras et commença a lui caresser  le torse à travers sa chemise tout en lui murmurant:
-J’ai envie de toi maintenant

Jérôme se sentit mal il avait envie de vomir et bien que Jake ne l’es pas encore jamais forcer il avait soudain très peur.
Impuissant il se vit repousser dans un bosquet de buisson et allonger sur quelque chose de doux. Une couverture Jake avait tout organiser.
Jake s’allongea sur Jérôme l’emprisonnant de son poids et commença a lui caresser le torse déboutonnant sa chemise au passage.

Après le départ de Jérôme, Clark décida d’aller se rafraichir avec quelques amis dans un pub de l’autre cotés du parc avant de déjeuner Bien que songeur il répondait au interactions de ses collègues et riant au blagues.

Jérôme se tortillait, essayant de se libérer mais il n’y arrivait pas, soudain Jake se redressa pour déboutonner son pantalon tout en lui disant:
-Tu es beau Jérôme au premier regard j’ai vu que tu serais a moi je vais te faire du bien et tu m’en redemandera.

Profitant de ce moment, le jeune homme lui envoya son genou dans l’entre jambes avant de se sauver en courant. Jake hurla de douleur et le traita de tous les noms qu’il connaissait.
Humilié Jérôme ne ralentis pas et heurta quelqu’un. Tout en bafouillant quelques excuse il releva la tête et rencontra le regard émeraude de Clark.
Clark fit signe a ses amis de partir sans lui puis il aida Jérôme a marcher jusqu’à un banc bien visible il lui demanda:
-Jérôme que c’est il passé? Vous vous êtes fait agresser?

Le jeune homme secoua la tête de droite a gauche il n’avait pas envie que quelqu’un apprenne qu’il avait failli se faire violer par son petit ami. Et encore moins Clark.
Il avait honte et se sentait sale, il ne voulait qu’un chose, oublier et rentrer chez lui prendre une douche et se changer.
-Ce n’est  rien, je suis désolé de vous avoir bousculer. Je vais rentrer maintenant.

Clark l’obligea a le regarder en lu soulevant le menton.
-Pour quelqu’un qui n’a rien vos yeux sont bien larmoyant. Allez dites moi ce qui vous es arriver je pourrais peut être vous aider.

Jérôme était sur le point de refuser quand Jake arriva en marchant difficilement et en jurant a tue tète. Quand il aperçut Jérôme et Clark sur le banc il s’écria de rage:
-C’est a cause de lui tu va me le payer. Tu es a moi.

Inconsciemment; Jérôme se dissimula derrière Clark qui se leva et arrêta Jake dans son élan:
-Du calme je ne sais pas ce qui se passe mais vous allez vous calmer.

Jérôme se senti en sécurité près d’un homme qui dégageait une telle assurance. Il osa enfin faire face a Jake tout en restant près de Clark.
Jake lui senti sa colère monter d’un cran:
-Qu’Est-ce que ça peut vous faire Jérôme est a moi je ne vous le laisserais pas.

Il avança d’un pas puis regarda son ex:
-Allez Jérôme viens avec moi

Clark qui avait fait son enquête sur l’entourage de Jérôme déclara:
-Vous êtes bien Jake King, de Philadelphie?

Bien qu’étonner d’être reconnu, l’interpeller acquiesça et Clark continua
-Vous avez bien été arrêter pour proxénétisme et expulser de l‘état n‘Est-ce pas?  Vous avez louer une grande maison récemment, vous conter recommencer votre bizness?

Jake se mit a rire et déclara:
-Je vois que vous êtes bien informer ou presque. Les temps on changer, les affaires sont plus difficile.

Jérôme commençait a comprendre la vérité et cela l’effraya:
-Tu n’avais pas l’intension de m’ entrainer dans une histoire louche?. Allez répond moi?

Clark retenait Jérôme en attendant lui aussi une réponse mais Jake les regarda et avec un rire sardonique déclara:
-Tu aurais été mon favori, tu as un si beau cul, j’aurais pu gagner de belles sommes avec toi.

Clark fut sur le point de dire quelque chose mais Jérôme le devança:
-Je n’aurais jamais accepter une chose pareil

Le rire démoniaque de Jake se rependit en écho:
-Que tu peux être naïf! Tes parents aurait tout accepter pour te voir partir de chez eux, je n’avais plus qu’a leur filer du pognon et tu étais a moi. Il n’y aurais pas eu cet incident au bar, tu serais déjà sur le trottoir, avec le temps tu aurais été près a tout pour me faire plaisir et ne pas te retrouver seul. Tu es bien comme toute ses putes du coin.

Jérôme frissonna de peur a la pensée de ce qui avait failli lui arriver. Il avait été dupé par de belles paroles il se souvenait avoir vu en Jake une porte de sortie et voila qu’il apprenait que c’était en fait une porte de prison.
Ecœuré, il s’avança en titubant d’indignation en direction de Jake:
-Tu n’es qu’un salaud, une vermine qu’il faut détruire je ne serais jamais a toi, il faut t’enfermé.

Son poing parti et atteignit Jake sous le menton. Clark n’eut pas le temps de réagir que Jérôme cognait une deuxième fois. Le regard perdu dans le vide Jérôme cognait il était fou de rage soudain des bras l’enserrèrent pour l’arrêter Jake était a terre en sang. Clark maintien le jeune homme dans ses bras et le calma
-ça suffit, il a eu son compte.

Puis comme si il se vidait de tous Jérôme s’effondra dans les bras de Clark et pleura
Clark le garda serrer contre lui jusqu’à ce qu’il se calme.

21 juillet 2010

la confiance (part3)

Le lendemain, Jérôme alla travailler puis en rentrant eu la surprise de retrouver Clark devant l’entrée en pleine discussion avec ses parents. Il attendit quelque instant avant de les déranger toute en écoutant sa mère:
-C’est très difficile pour nous, mais pas au point de le mètre a la porte. Il faut qu’il soit prêt avant de partir. Je suis désolée je ne peux pas vous répondre à sa place.

Jérôme vit son père crispé la mâchoire en regardant sa femme puis il dit:
-D’ailleurs pourquoi ne pas l’attendre il ne devrait pas tarder, une occasion pareil, ne se présentera pas deux fois je suis certain qu’il….

Il fut couper par un coup de coude de sa femme qui lui jeta un regard noir. Clark avait bien compris mais ne releva pas les signes:
-Je ne voudrais pas vous déranger plus longtemps, et j’ai un rendez-vous très important, j’aurais juste aimé que vous lui transmettiez ma proposition, il s’est où me joindre si il a besoin.

Clark salua Mr et Mme figer puis fit demi-tour. Jérôme se dissimula dans une ruelle et le vit passer près de lui. Jérôme attendit que ses parents soit rentré pour sortir de sa cachette et rentré dans sa maison.
Quand il franchi la porte d’entrée, il entendit ses parents discuté dans la cuisine, il y pénétra et lança:
-Je suis rentré. J’ai aperçu Mr Pein qui sortait d’ici, qu’Est-ce qu’il voulait?

Son père dissimula mal sa joie et sauta sur l’occasion.
-Il était venu te faire une proposition qui me parait très intéressante. Il te propose de travailler avec lui et il te fourni un logement, qu’Est-ce que tu en pense?

Sa mère qui jusqu’à présent épluchait des légumes pour le repas en laissa tomber son couteau
-Arrête! Ça suffit tu ne peux pas lui dire de cette façon, on dirait que tu es content de le voir partir!

Puis se tournant vers son fils:
-Mr Pein nous a dit qu’il pourrait te trouver un travail plus intéressant, c’est a toi de choisir  il nous a dit que tu pouvais lui téléphoner si tu avais des questions.

Elle hésita un instant puis continua:
-Tu es chez toi ici, tu peux rester aussi longtemps que tu le veux.

Jérôme sourit a sa mère puis regarda son père et senti des picotement dans son dos.
Il se demanda pourquoi un inconnu irait s’occuper d’un jeune homme qu’il n’avait rencontrer que deux fois, Puis voyant son père, il eut une bouffée de colère, se retenant avec peine d‘éclater, il répondit a ses parents:
-Je vais y réfléchir. Je l’appellerais pour qu’il m’en disent plus sur ce travail.
Il s’excusa et alla dans sa chambre.
Allongé sur son lit, la carte de Clark dans la main droite et le téléphone dans la gauche, il regardait le plafond en se demandant ce qu’il devait faire.
Le téléphone sonna et il sursauta, mécaniquement, il décrocha sans regarder le numéros de l’appelant:
-Allo!

Une voix familière lui répondit:
-Jérôme! c’est Jake ne raccroche pas, s’il te plait, j’ai a te parler.

Bien que l’envie d’appuyer sur le bouton rouge du téléphone le démangeait, il écouta ce que son ex avait a lui dire.
-Qu’Est-ce que tu veux?

Jake était nerveux mais il continua:
-Voilà! Je ne sais pas pourquoi, ni ce qui s’ai passer mais je ne veux pas qu’entre nous ça se finissent comme ça. Alors Est-ce que tu voudrais bien qu’on se vois pour parler calmement?

Jérôme soupira en se rendant compte que tous les événements lui avait fait oublier Jake et la scène dans l’arrière salle du bar. Bien que ses sentiments soit évident pour lui, il fallait quand même qu’il soit honnête avec Jake.
-C’est d’accord, on va parler, mais ça ne changera rien a se que je pense. Alors où et quand?

Il y eu un instant de silence pendant que Jake réfléchi puis il déclara:
-Demain, c’est bien ton jour de congés, vers 11H chez moi?

Jérôme regarda son calendrier épinglé au dessus de son bureau et voyant la trace de surligneur rouge sur la date du lendemain se demanda comment il avait pu oublier.
Revenant à la conversation, il se lança:
-Ok pour demain mais pas chez toi, au parc qui se trouve sur la 10ème?

A l’autre bout de la ligne il y eu un bruit sourd puis Jake répondit:
-D’accord, alors on se voit demain 11h au parc?
-Oui a demain.
Jérôme raccrocha puis regarda par la fenêtre il savait qu’il venait de faire une erreur mais il ne pouvait pas revenir en arrière.

Jake jubilait pour lui pas question de laisser partir une affaire pareil, il aimait Jérôme a sa façon et ne pourrais pas le laisser a quelqu’un d’autre il l’avait former a l’amour et ne voulait pas voir s’échapper sa création, il était son jouet sa poupée et personne ne lui prendrait.
Le lendemain, Jérôme se leva tôt, la veille après le coup de téléphone de Jake, le jeune homme avait pris contact avec Clark afin d’en savoir plus mais celui-ci n’avait pas voulu lui en parler au téléphone et lui avait donner rendez-vous à 9H a son entreprise.
Jérôme se prépara avec soin, mettant un jeans noir et une chemise blanche sous son manteau de cuir marron.
En descendant dans la cuisine, il sourit a sa mère qui en le voyant lâcha dans l’évier l’assiette qu’elle lavait:
-Oh! Jérôme où va tu habillé ainsi?

Bien qu’il eu envie de tous garder pour lui avoua a sa mère:
-J’ai pris rendez vous avec Mr Pein pour en savoir plus sur sa proposition.

Gênée, Mme Figer tripota le bas de son tablier:
-Tu nous a entendu parler avec Mr Pein n’Est-ce pas? Je le sentait déjà hier mais sache que moi je serai toujours là pour toi, si tu ne te sen pas près reste avec moi.

Jérôme remarqua les larmes qui coulaient sur les joues de sa mère et eclata:
Mais pourquoi reste tu avec lui, il a ruiné ta vie il nous fait vivre l’enfer chaque jour et depuis l’accident c’est comme si je ‘existait pas, Avant il essayai au moins de parler mais maintenant rien.
Mme Figer regarda son fils droit dans les yeux puis se résolut:
-Il s’en veut pour ce qu’il ta fait. Ce qu’il nous a fait. Et malgré les année quand il te voit avec se tee-shirt et qu’il aperçoit la cicatrice, il ne peux se le pardonner, il n’arrive pas a trouver comment se faire pardonner.

Jérôme commençait a comprendre la réaction de ses parents. Lui portait le tee shirt déchirer quand il se sentait déprimé pour ne pas oublier que la vie était fragile et que la mort n’était pas une solution a ses problèmes.
-C’est pour ça! Moi qui croyait qu’il ne m’aimait pas il avait l’air si heureux de me voir partir.

Relevant la tête Mme Figer fixa son regard a celui de son fils
-Il t’aime et pensait que c’était une solution. En se voyant moins, vous auriez pu oublier tous les deux votre rancœur.

Jérôme pris sa mère dans ses bras et la remercia:
-J’ai compris, Merci de m’avoir ouvert les yeux. Bon j’y vais à ce midi!

Nerveusement, Jérôme quitta la maison et pris sa décision, il accepterais la proposition de Clark quel quelle soit pour laisser ses parents reconstruire leur vie.

22 juin 2010

la confiance (part2)

Jérôme se réveilla dans une chambre blanche illuminée, il tourna la tête et vit des instruments médicaux. Il tenta de se redresser et eut des vertiges mais les combattis, il ne savait pas où il était ni comment il était arriver là. La porte s’ouvrit sur une infirmière qui entra et lui sourit:
-Mr Figer, vous êtes enfin réveiller, comment vous sentez vous?

Encore désorienté le jeune homme demanda où il était et l’infirmière lui expliqua
-Vous avez eu un petit accident, on vous a amener a l’hôpital.

Après un moment d’absence, Tout lui revenait doucement et des larmes coulèrent sur ses joues
Il regarda ses mains bandés et les reposa sur les couvertures en se demandant comment tous cela avait pu lui arriver.
Le lendemain, quand le médecin accepta enfin de lui signer un décharge, Jérôme put rentrer chez lui. C’était la 1ère fois qu’il voyait ses parents accrocher l’un a l’autre et d’accord sur quelque chose.
Une fois installer dans sa chambre, il appela son patron pour lui expliquer la situation mais celui-ci était déjà au courant, après avoir reçu des souhaits de bon rétablissement il raccrocha.
Le docteur lui avait prescrit une semaine de repos qui pour Jérôme allait être un supplice, cela faisait bien des années qu’il trouvait toujours un moyen de s’enfuir pour ne pas entendre les disputes de ses parents.
Dans la soirée après un repas agréable, le téléphone sonna, Jérôme décrocha et eut envie de raccrocher en entendant la voix de Jake:
-Jérôme! Comment va tu? Je viens d’apprendre ce qui t’étais arriver.

Jérôme essaya de garder son sang froid mais il n’y parvint pas:
- Qu’Est-ce que cela peut te faire? Tu n’a qu’a retourner auprès de ta serveuse.

Et sur ses mots il raccrocha. Enervé et tremblent il sorti de sa chambre et alla dans le salon. Ses parents était assis sur le canapé et regardait une émission sur les animaux marin. Quand elle le fit, sa mère se leva:
-Qu’Est-ce qu’il y a? tu ne te sent pas bien?

Jérôme regarda sa mère dont le visage était devenu pale et la rassura:
-Je vais bien ne t’inquiète pas je voulais juste regarder un peu la télé.

Ses parents le regardèrent puis lui laissèrent une place entre eux deux.
L’émission n’avait rien d’intéressant pour le jeune homme, il voulait juste être avec ses parents comme quand il était enfant, bientôt il s’endormi, la tête poser sur l’épaule de sa mère.
Quand il se réveilla le lendemain il était allongé sur le canapé et ses parents lui avait descendu une couverture pour qu’il n’es pas froid.

La semaine passa sans grand souci ses parents faisait semblant de bien s’entendre tout en veillant qu’il n’es besoin de rien. Il aurait cru être heureux de tant d’attention mais se rendit vite compte que cela lui était insupportable.
En rangeant ses affaires, il tomba sur une carte de visite et y jeta un coup d’œil.
Le nom de l’homme qui l’avait aider était inscrit en gras et son adresse en dessous, en minuscule. Il retourna le carton et le glissa dans sa poche avant d’aller a son travail.
Le trajet jusqu’au magasin lui fit le plus grand bien l’air frais lui fouettait le visage.
Son patron l’accueilli et il se mit au travail avec beaucoup d’impatience.
La journée passa trop vite et quand son patron l’invita a partir il eut la tentation de lui dire qu’il restait mais il passa prendre sa veste dans le vestiaire et sorti dans la rue, sur le trottoir d’en face un homme attendait et lui fit signe quand il le vit
-Bonjour tu te souviens de moi? je voulais avoir de tes nouvelles.

Machinalement, Jérôme recula puis son visage prit une teint rosie:
-Vous êtes la personne qui m’a tirer du pont, merci, je ne sais pas comment vous remercier.

L’homme lui sourit:
- Et si tu acceptais enfin de venir boire un verre avec moi, il y a un bar un peu plus loin.
Bien qu’il ne s’en rendit compte que plus tard, Jérôme était fatigué et l’idée de rentré chez lui ne l’enchantait pas alors il suivit Clark.
Le bar était en fait celui où travaillait Jake, Jérôme eu une hésitation puis se dit que c’était le moment ou jamais de régler cette histoire.
Clark prit une table dans un coin au calme et demanda:
-Qu’Est-ce que je ‘offre

Jérôme le regarda et répondit:
- Un jus d’orange s’il vous plait.

Un peu surpris Clark s’attendait a se que le jeune lui demande de l’alcool, il haussa les épaule et commanda un bière pour lui.
-Alors comment ça va?

Jérôme haussa les épaule.
-Bien j’ai eu une semaine de repos

Il fut interrompu par l’arriver de Jake avec les boissons
-Jérôme comment va

Jérôme lui jeta un regard méprisant et lui balança:
-Ça allait mieux avant que tu arrive tu peu retourner travailler et nous laisser tranquille.

Clark regarda les deux jeunes et essaya de les calmer en se présentant :
-Bonsoir, vous êtes un ami de Jérôme, je suis Clark Pein

Jake regarda l’inconnu et se souvint de l’article qu’il avait lu dans un magasine people, Pein était le président d’une grande compagnie mais il ne se souvenait pas laquelle.
-Bonsoir monsieur. Je connais Jérôme depuis un moment…

Jérôme lui coupa la parole:
-Ce n’es pas un ami, laissez tomber.

Jake regarda son ami horrifié puis le prenant par le bras, le fit se lever:
-Jérôme il faut qu’on parle

Le jeune homme eut un regard de haine puis se mit a crier
-Pas ce soir, ni jamais. J’ai compris ton manège alors lâche moi!

Clark spectateur malgré lui ne pu s’empêcher de dire:
-Jérôme il y a peut être un malentendu tu devrais écouter ce que ton ami a à dire

Se libérant enfin de Jake, Jérôme s’écarta de la table:
-Ce n’es  pas vos oignons!

Un peu honteux de cet éclat en public il s’excusa au près de Clark:
-Je suis désolé, je me sens fatigué, je vais rentrer. Merci pour le verre.

Jake le regarda sorti sans bouger puis il senti une main sur son épaule
Clark attendait:
-Je voudrais m’excuser pour lui

Bien que conscient de ne pas connaitre cet homme, Jake le remercia:
-Non c’est moi qui suis en tort enfin je crois.

Clark paya la note et sorti a son tour tendit que Jake reprenais son poste derrière le bar sans grand enthousiasme.
De retour chez lui, Jérôme s’enferma dans sa chambre . Ses parents qui étaient dans la cuisine se regardèrent puis haussèrent les épaule « les jeunes sont vraiment incompréhensible »
Un peu plus tard, Mme Figer alla frapper à sa porte pour le diner:
-Jérôme, tu va bien? Le repas est prêt, tu viens manger?

Le jeune homme allonger sur son lit regarda la porte puis se leva:
-ça va m’man! J’arrive.

De l’autre coté de la porte sa mère lui répondit:
-On t’attend pour commencer alors!

Pour ne pas lui donner encore une occasion de faire une scène Jérôme sorti de sa chambre et alla rejoindre ses parents pour le diner
Son père le regarda arriver puis détourna les yeux. Pas un mot ne passa entre eux, le courant avait été couper le jour où voulant protéger sa mère de la colère de son père, Jérôme s’était mis entre ses parents et avait reçu un coup de couteau dans le dos. Mr Figer avait réaliser son acte en voyant son fils a demi conscient sur le sol et sa femme hurlant:
-Monstre tu as tuer mon fils! tu l’a tuer!

Bien que colérique, Mr figer n’avait jamais été violant envers sa famille et l’alcool aidant se fut le coup de grâce.
Jérôme se demandait toujours comment ses parents avait réussi a rester ensemble si longtemps et surtout depuis la tragédie. Lui ne s’occupait plus de se qui se passait entre ses parents même si les scènes qui se répétait chaque soir, était pénible.

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10 mars 2010

archives

banoel

Vendredi 4 Décembre:

un nouveau mois commence et je n'es toujours pas avancer peut etre que l'année prochaine je pourrais enfin vous donner quelques chose mais pour le moment je me consacre au fêtes.

Je vous souhaite de bonne fête de fin d'année et plein de bon yaoi sous le sapin

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Mercredi 1er septembre

Voilà, les vacances sont fini, il faut ranger le matériel de camping au placard jusqu'à l'année prochaine et ressortir les cartables.

Pour cette veille de rentrée je remet une histoire que j'ai eu du mal a finir. voici le chapitre 7 de "Liaison interdite", je l'es enfin fini, il faut que je trouve le courage de la tapé et c'est pas avec la rentrée des classes que je vais trouver le temps. Enfin tout ça pour en faite vous souhaiter                                    

                                                  une bonne rentrée a tous

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Mercredi 18 aout

lecteur/lectrice, merci de votre fidélité.

c'est avec un grand plaisir que je vous annonce aujourd'hui la fin d'un fic sur ce blog, La confiance je viens de vous mettre les deux dernière parties, en souhaitant que la lecture de cette histoires vous est plus.

Je voulais aussi vous dire liaison interdite n'est pas morte les idées m'arrivent au compte gouttes mais cela avance doucement

Hier soir alors que je me couchais j'ai eu l'idée d'un histoire assez sympa, je ne sais pas quand je mettrais la première parti mais je peux déjà vous annoncer qu'il s'agit d'un journal intime.

Bien je vous laisse en vous souhaitant bonne lecture et a bientot

 

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Mercredi 21 juillet 2010

Bonjour, aujourd'hui j'ai fini d'écrire une de mes fic il ne me reste qu'a la taper et a vous la faire lire. alors pour ceux qui se risque encore a venir voir si mon blog est encore vivant je vous offre "confiance partie 3" surtout n'hésitez pas a venir jeter un coup d'oeil de temps en temps pour voir si la suite ne serait pas en ligne.

je pense revenir dans quelques jour pour vous monter la suite. bisou a tous mes lecteurs et a bientôt

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Vendredi 9 juillet 2010

Demain je pars en week end sur la coté, j'ai hâte de mettre les pieds dans l'eau. Enfin je suis aussi passer pour vous mettre la version complète de Confiance partie 2 et vous souhaiter un bon mois de juillet

BONNE VACANCES A TOUS

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Mardi 22 juin 2010

Je pense que ceux qui continue de venir voir mon blog on le droit a des remerciements, donc merci a mes fidèles lecteur ou juste visiteurs.

Que dire de plus trois sans rien aurais pu faire que je ferme ce blog ou que je déserte mais non. je suis toujours a la recherche d'inspiration et au moindre moment de tranquillité. les beaux jours arrivent et mon cahier d'écriture près. je suis toujours bloqué par mon manque d'imagination j'espère que les vacances vont y remédier, a bientot.

 

Je souhaite bon courage a ceux qui passe leur examens, un peu de confiance (c'est un brouillon)

 

le mercredi 10 mars 2010

Nous sommes en Mars et je n'es pas disparu je me ressourçai. Enfin me revoilà avec pas mal d'idée même si je n'arrive pas à les mettre en forme.
Donc pour cette année j'ai l'intention de vous donner la fin de ma fic "confiance", une petite histoire entre amis d'enfance qui se retrouve après une longue séparation et peut être la fin d'un "amour interdit"

Pour aujourd'hui je vous laisse avec mes remerciements et vous dit a bientot.

4 décembre 2009

archive d'octobre

Jeudi 29 octobre:

Cela fait un moment que je n'es rien publier, mais cela ne m'empêche pas d'écrire.

J'avoue octobre est un mois que je n'aime pas il y a eu beaucoup de chose qui se sont passer pendant ce mois au cours des 29 dernière années qui font que je suis changeante pendant cette période. heureusement la fin du mois approche et l'anniversaire de ma fille me rend le sourire.

Donc pour toutes les personnes qui sont venu voir mon blog, je vous offre une petite histoire pour halloween et en avant première le début d'une nouvelle fic.

J'ai aussi une mauvaise nouvelle je laisse tomber une des fics que j'ai commencer j'arrive pas a trouver une fin convenable donc je vais tout réecrire (encore) et je la publierais quand elle sera fini, il s'agit de liaison interdite

Bonne lecture à tous et a bientôt pour de nouvelle lecture.

29 octobre 2009

archive de septembre

Samedi 5 septembre:

A tous ceux qui me lisent et qui font encore des études je leurs souhaite une bonne rentrée, a tous ceux qui travail bon courage et a ceux qui comme moi ne font rien bonne glandouille.

Septembre des idées pleins la tête mais pas le temps des mettre sur papiers; aujourd'hui je vous est mis 'un amour sur le circuit" qui est terminée. Liaison interdite stagne mais j'avance doucement. J'ai un projet en pofinage et une idée qui es passer ce matin, mais qui a disparu dommage.

Eh bien voilà pour les nouvelle du blog. bonne lecture

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29 octobre 2009

Joyeux halloween

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Un jeune homme vêtu d'un costume de Vampire marchait tranquillement dans la rue, regardant les enfants frapper au portes dans leurs déguisement de citrouilles, fantômes et autres monstres sorti de leur imagination, en direction des grilles du lycée.
Le comité avait annoncé qu'une soirée costumés aurait lieu dans le gymnase de l'établissement et que tous les élèves y était conviés.
Julien franchis les grilles et s'apprétait a longé le bâtiment principale quand il remarqua une silhouette au loin devant lui. La soirée avait commencer depuis bien longtemps et il devait être un des derniers a arriver, il suivit le chemin menant au gymnase et arriver au croissement derrière le batiment il vit la silhouette de son camarade prendre la direction opposé à la soirée.
La pleine lune laissa ses rayons traverser la couverture d'arbre et illumina le dos de la silhouete, que Julien reconnu et décida de suivre.
Après un moment, le jeune homme entendit du bruit et s'arrêta, l'endroit était boisé et sombre, ce qui ne donnait pas confiance. En se retournant il vit l'ombre d'un petit animal qui se faufila aussi vite qu'il le pouvait dans les buissons. Julien soupira de soulagement et repris son chemin mais malheureusement il avait perdu de vue la personne et ne savait pas où elle était. Décider a savoir où allait son camarade, Julien continua et arriva bientôt devant l'entrée du local de stockage du matèriel de sport, La porte étant ouvert, il se faufila à l'intérieur et demanda:

- Oh! Eh! Il y a quelqu'un? Oh! Oh!

Julien s'était avancer dans la pièce sombre et silencieuse, en entendant un grincement, il se retourna et vit la porte coulissante se refermer, pétrifié, il vit le dernier rayon de lumière disparaitre derrière la porte, il s'élança et tenta de la rouvrir mais elle était vérrouiller. Il tapa du poing contre le battant en criant:

-Oh! Ouvrez! Au secours! Aidez-moi!

Une voix ricanante lui répondit:

-Personne ne peux t'entendre Julien.

La personne n'était pas à l'éxtérieur du local mais juste derrière lui. Julien se retourna face à l'endroit d'où émanait la voix qu'il reconnut comme celle de Fabrice, un élève de 2 ans son ainé et lui demanda:

-Fabrice? Laisse moi sortir d'ici!

La voix de son ainé lui parvint comme assourdi:

-Tu m'as suivi, Alors pourquoi je te laisserais partir?

Pétrifé, Julien recula jusqu'a la porte et essaya encore de l'ouvrir mais rien n'y fit. Il était prisonnier de cet endroit sombre et isolé, seul avec Fabrice.
Le propriétaire de la voix, s'avança et alluma une lampe de poche qu'il posa sur un cheval d'arçon, le jet de lumière fixé a quelque centimètre du visage de julien.

-Si tu ne voulais pas venir ici pourquoi m'avoir suivie? Tu aurais pu aller t'amuser à la fête?

Julien clignait des yeux pour s'abituer à la clarté de la lampe qui l'éblouissait mais il n'arrivait pas a voir les yeux de Fabrice il ne distinguait qu'une silhouette flou entourer d'un halo dorer.

-Je voulais juste savoir où tu allais!

Les pas de Fabrice, dont la voix devint plus tendre, raisonnait dans la pièce et se rapprochait de Julien:

-Si je ne t'avais pas remarquer à l'entrée j'aurais simplement fait demi-tour et je serais rentré chez moi.

Julien ne comprenait pas pourquoi Fabrice lui racontait ça mais il lui demanda quand même:

-Pourquoi avoir changer d'avis?

Son coeur battait si vite, qu'il avait l'impression qu'il allait bientôt s'arreter. Fabrice était maintenant si près qu'il croyait faire un rêve. Jamais Julien n'aurait pensé pouvoir se rapprocher autant de son ainé. Bientôt son rêve s'évanouis lui rappelant que Fabrice ne l'avais attiré dans ce local que pour lui faire une farce, s'amuser en l'effrayent et qu'il allait peut etre aller jusqu'a l'humilié pour finir sa plaisanterie.
Fabrice fixait Julien et il voyait la peur sur son visage:

-C'est pour toi que je suis rester. Voilà un an que je t'observe, tu es gentil, populaire, beau tous le monde veux etre ton ami, moi comme tous mais tu ne me vois pas.

Un éclair de tristesse passa dans ses yeux remplacer immédiatement par de la détermination.
Devant un tel aveu, Julien en oublia son désir de fuir, il regarda Fabrice d'un air ahuri et dit:

-Qu'est ce que ça veut dire, je ne comprend pas?

Julien essayait de se souvenir d'un moment où leur regard se serait croisé mais il n'en trouva pas. A haque fois qu'il observait son ainé il était à la fenètre de sa classe quand Fabrice faisait du sport.
Fabrice se planta face à julien, plaquant ses deux main de chaque coté de son visage sur le battant de la porte.

-C'est pourtant clair! Je voulais te punir et t'humilié. Je voulais que tu te sent sale et que tu ne regard que moi. Je voulais que plus personne ne te ragard. C'est pour ça que je suis venu ici je pensait que tu allait me suivre.

Julien tremblait de tous ses membres, son cervaux commençait juste a comprendre et au lieu de repousser Fabrice et de s'en éloigné il lui demanda non sans une certaine apréhension:

-Tu étais jaloux? c'est pour ça que tu m'a attirer ici? Fabrice est ce que tu m'aime?

Fabrice secoua la tête et serra les poing contre le métal froid de la porte:

-Moi! Je ne suis pas jaloux.

Oubliant ses émotions, Julien fit quelque chose qui ne lui serais jamais venu a l'esprit en temps normal, il passa ses bras autour du cou de Fabrice et chercha ses lèvre pour y déposer un baiser.
Malgré la surprise, Fabrice se redressa et entoura Julien de ses bras pour se sentir contre lui.
Julien mit fin au baisser et s'écarta de Fabrice pour lui avouer:

-J'ai toujours voulu faire ça. Quand je le pouvais je te regardais mais tu étais si populaire, célèbre même que je me sentais bien incapable de te parler, Je pensais que tu ne me verrais jamais, toi capitaine de l'équipe d'athlétisme moi un étudiant de 1ère année on était incompatible. J'en étais même arriver à me dire qu'il serais mieux que je t'oublie.

Fabrice resserra son étreinte autour de Julien, en lui murmurant "je t'aime",qui s'y blotti  sans resistance en lui avouant:

-Je t'aime aussi.

Pendant que dans les rues, des enfants déguisés frappait aux portes reclamant des bonbons et que dans le gymnase des centaines d'étudiant dansait sur des rythmes endiablés, Julien était étendue sur un tapis de gym, enlacés dans les bras de Fabrice, a l'intérieur de l'endroit qui deviendrait leur nid d'amour et garderait le secret de leurs étreintes passionnés.

29 octobre 2009

la confiance

Croire en la vie, c’est faire confiance au autres

Jérôme était assis sur la parapet d’un pont, regardant au loin sans rien voir en balançant ses pieds dans le vide. Les passants le regardait bizarrement, avec son tee-shirt déchirer dans le dos laissant voir une marque rouge, et ses cheveux long lui arrivant à la taille, mal coiffée et gras, il ne pouvait que paraitre pour un marginal non fréquentable.
Ce jeune garçon de 17 ans au regard émeraude cachait une fragilité a cause de son entourage familiale, il aurait du être chez lui mais Jérôme ne s’en souciais pas, un événement lui avait couper l’envie de se retrouver avec ses parents ou à un autre endroit.
Après ses études, Jérôme avait tout laisser tomber, travaillant dans un petit magasin la journée et rentrant chez ses parents le soir . Lors d’une dispute il était aller dans un bar et le regard du barman l’avait hypnotiser. Une relation commença, un soir par ci par la et toujours dans un coin sombre. Jérôme ne connaissait que peut de chose sur lui, seulement qu’il l’aimait et qu‘il se sentait apaiser avec lui.
Regardant sans les voir les bateaux qui naviguaient sur le fleuve, il repensait à ses moment où il s’était enfin senti en paix avec lui-même et en sécurité dans les bras de Jake.
Tout était maintenant terminer, Jake l’avait trahi et ses parents le voyait comme quelqu’un d’anormal.
Un passant s’arrêta a hauteur du jeune homme et demanda:
-Excusez-moi, auriez-vous du feu?

Jérôme se retourna et vit un homme d’une trentaine d’année, une cigarette à la bouche.
-Non, je ne fume pas

L’homme prit sa cigarette et la remit dans son paquet qu’il tenait à la main
-Tans pis ça évitera que je fume.

Il s’accouda au parapet et continua
-Vous m’avez l’air bien seul, Est-ce que vous allez bien?

Jérôme se mit a examiner l’inconnu et vit a homme d’une trentaine d’année au cheveux blond et au yeux bleu nuit qui lui donnait un air sévère.
-Je vais bien merci.

L’inconnu se rapprocha du jeune homme et lui dit:
- Je me disait qu’on pourrais peut être passer un moment entre personne seul.

Jérôme se demanda si cet homme n’était pas un pervers et commença à s’éloigner de lui
-Je ne vous connais pas et je n’es pas l’intension d’aller où que se soit avec vous

Comprenant qu’il faisait fausse route, l’homme se reprit
-Je crois que je me suis mal exprimer cela fait un moment que je vous regarde, vous avez l’air un peu perdu.

Encore plus dérouté, Jérôme s’écria:
-Je ne suis pas perdu et de quoi vous vous mêlé!

L’homme mit la main dans la poche intérieur de sa veste et en sorti un portefeuille duquel il extirpa une carte de visite qu’il tendit a Jérôme
-Je m’appelle Clark Pein

Jérôme prit la carte et la mit dans sa poche sans la regarder. Il se sentait bien vide tout a coup mais n’espérait aucun réconfort et surtout pas d’un inconnu.
Le silence s’établi laissant les deux homme dans leur pensée.
Après un moment, et voyant que le jeune homme ne lui divulguerais pas son identité, Clark demanda:
-Vous ne voudriez pas qu’on aille dans un endroit plus chaud, je vous trouve sympathique, allons boire un verre?

Jérôme se redressa et refusa, tous ca paraissait bizarre pourquoi un homme s’intéressait a un inconnu.
Le regard doux et pensif de Clark devint sévère et dur, mais sa voix resta douce:
-Allez venez! Vous avez l’air d’avoir besoin d’un bon remontant.

Le jeune homme comprit soudain et soupira:
-Je ne veux pas de votre pitié, et je vous rassure je n’avais aucune envie de sauter de ce pont.

A la vue du redressement de l’inconnu, Jérôme comprit qu’il avait tirer dans le mile, cet homme avait cru qu’il attendait le bon moment pour sauter et se suicidé mais malgré son chagrin il n’en était pas au point de vouloir en finir.
Clark ouvrit de grand yeux, gêné d’avoir été découvert mais il fut convaincu que le jeune homme n’était pas au désespoir.
-Très bien, je suis découvert. Mais voulez vous venir de se coté pour que je sois rassurer un faux mouvement est si vite arriver.

Jérôme soupira d’exaspération, il ne connaissait pas cette homme et lui obéissait quand même. Il passa un pied par-dessus le parapet et resta quelque seconde à cheval avant de soulever l’autre jambe pour la passer de l’autre coté.
Une voiture traversa le pont a vive allure et klaxonna ce qui les fit sursauter. Jérôme qui était dans une situation délicate senti son pied glisser et se retrouva agripper a une pierre, les pieds dans le vide.
Au dessus de lui il entendait des gens se mettre a crier, au travers de tout ses bruit une voix lui redonna courage.
-Jeune homme, accrochez vous! J’arrive.

Clark regarda par-dessus le parapet et lui tendit le main mais trop de peur voilait son regard et Jérôme secoua la tête, il était paralysé, il vit bientôt la tête de l’inconnu disparaitre.
Clark se retourna et vit des gens qui avait vu la scène se mirent a parler des circonstance de l‘accident. L’homme prit son portable et appela les secours puis revint vers le parapet et étudia la situation:
-Est-ce que ça va? Tu peux tenir? Les secours arrivent!

Jérôme s’agrippait comme il le pouvait mais il ne lui répondit pas de peur de lâcher sa prise. Tant de chose, lui traversait l’esprit en cet instant,  Sa rencontre avec Jake, la scène avec son père qui lui avait valu sa cicatrice, les disputes de ses parents. Pour un peu il en aurait lâché sa prise tellement il trouvait son existence misérable mais un visage au regard dur lui traversa l’esprit et il en rassura sa prise.
Un véhicule s’arrêta derrière Clark, qui essayait de voir comment il pourrais aider Jérôme puis un chauffeur en uniforme vint le rejoindre:
-Nous voilà mon capitaine, on a fait aussi vite qu’on a pu

Clark donna quelques ordre et leur annonça:
-Apporter moi un harnais je vais descendre.

Tout en attendant que tous soit prêt, l’inconnu regarda Jérôme et lui dit:
-Je reviens, surtout garde ton calme et ne lâche pas!

IL s’approcha du 4x4 ouvrit la porte arrière et en sorti un harnais et une corde, le chauffeur s’affairait déjà à l’avant ou il accrocha la corde a un treuil.
Equipé, Clark pus enjamber le parapet et sourit à Jérôme qui malgré ses tremblements osa lui jeter un regard surpris.
En le voyant descendre avec tant de souplesse, il comprit que l’escalade devait faire parti de ses loisirs.
Le pont était en pierre et bien qu’il est été rénové il se dégradait sous le poids de son sauveteur, des grains de poussière lui tombaient dans les yeux mais il faisait tout pour ne pas lâché.
Se souvenant de ses cours d’escalade, Jérôme tenta de trouver un moyen de caler ses pieds pour avoir moins de poids sur les bras. La voix de Clark l’encourageait:
-Encore un peu de patience, j’arrive.

Le sauveteur descendait aussi vite que le treuil voulait bien dérouler la corde, mais trop lentement a son gout, il avait appris que chaque situations était différente et que face a la peur, chaque individu fuyait, préférant se laisser aller plutôt que de combattre.
Arriver a la hauteur de Jérôme, Clark s’immobilisa et remarqua que le brun avait des yeux magnifique:
-Donne moi, ta main, je vais te sortir de là.

Jérôme était face a son destin mais après tant de déboire il se demandait si la fin n’était pas le meilleur moyen de s’en sortir.
Clark s’impatienta devant son hésitation et lui dit:
-Courage! Tu as tenu jusque là tu peux y arriver!

Jérôme avait des crampes et craignais de lâcher prise, il tendit une main hésitante que Clark attrapa et l’attira dans ses bras. Jérôme serra son sauveur qui lui entourait la taille avec une sangle de sécurité et ferma les yeux, il entendit Clark lui dire:
- Ai confiance, je ne te lâcherai pas

Essouffler et les mains meurtri Jérôme acquiesça mais il tremblait de tous ses membres.
Clark regarda le visage confiant du jeune homme et fit un signe pour qu’on les remontent. Jérôme garda les yeux fermer sentant l’odeur poivrer de son sauveteur, Quand il les rouvrit il était arriver et des mains l’aidait à passer le parapet, Clark suivit et le voyant vaciller le repris dans ses bras.
Jérôme rougit et s’écarta tout en remerciant Clark, il se sentait effrayer par les gens qui l’entourait il voulait partir et se retrouver seul, il fis un pas et ses jambes le trahir il fut rattraper par des bras chaleureux, ceux de Clark.
Jérôme sentit des mains l’agripper et l’étendre sur quelque chose de dur. Le tremblement n’avait pas cesser et ses mains le faisait souffrir mais tout ça s’évapora bientôt comme un rêve quand il senti quelque chose lui piquer le bras.

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