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mes fictions en faction
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29 octobre 2009

Joyeux halloween

94qjv_sfondo_halloween_creepy


Un jeune homme vêtu d'un costume de Vampire marchait tranquillement dans la rue, regardant les enfants frapper au portes dans leurs déguisement de citrouilles, fantômes et autres monstres sorti de leur imagination, en direction des grilles du lycée.
Le comité avait annoncé qu'une soirée costumés aurait lieu dans le gymnase de l'établissement et que tous les élèves y était conviés.
Julien franchis les grilles et s'apprétait a longé le bâtiment principale quand il remarqua une silhouette au loin devant lui. La soirée avait commencer depuis bien longtemps et il devait être un des derniers a arriver, il suivit le chemin menant au gymnase et arriver au croissement derrière le batiment il vit la silhouette de son camarade prendre la direction opposé à la soirée.
La pleine lune laissa ses rayons traverser la couverture d'arbre et illumina le dos de la silhouete, que Julien reconnu et décida de suivre.
Après un moment, le jeune homme entendit du bruit et s'arrêta, l'endroit était boisé et sombre, ce qui ne donnait pas confiance. En se retournant il vit l'ombre d'un petit animal qui se faufila aussi vite qu'il le pouvait dans les buissons. Julien soupira de soulagement et repris son chemin mais malheureusement il avait perdu de vue la personne et ne savait pas où elle était. Décider a savoir où allait son camarade, Julien continua et arriva bientôt devant l'entrée du local de stockage du matèriel de sport, La porte étant ouvert, il se faufila à l'intérieur et demanda:

- Oh! Eh! Il y a quelqu'un? Oh! Oh!

Julien s'était avancer dans la pièce sombre et silencieuse, en entendant un grincement, il se retourna et vit la porte coulissante se refermer, pétrifié, il vit le dernier rayon de lumière disparaitre derrière la porte, il s'élança et tenta de la rouvrir mais elle était vérrouiller. Il tapa du poing contre le battant en criant:

-Oh! Ouvrez! Au secours! Aidez-moi!

Une voix ricanante lui répondit:

-Personne ne peux t'entendre Julien.

La personne n'était pas à l'éxtérieur du local mais juste derrière lui. Julien se retourna face à l'endroit d'où émanait la voix qu'il reconnut comme celle de Fabrice, un élève de 2 ans son ainé et lui demanda:

-Fabrice? Laisse moi sortir d'ici!

La voix de son ainé lui parvint comme assourdi:

-Tu m'as suivi, Alors pourquoi je te laisserais partir?

Pétrifé, Julien recula jusqu'a la porte et essaya encore de l'ouvrir mais rien n'y fit. Il était prisonnier de cet endroit sombre et isolé, seul avec Fabrice.
Le propriétaire de la voix, s'avança et alluma une lampe de poche qu'il posa sur un cheval d'arçon, le jet de lumière fixé a quelque centimètre du visage de julien.

-Si tu ne voulais pas venir ici pourquoi m'avoir suivie? Tu aurais pu aller t'amuser à la fête?

Julien clignait des yeux pour s'abituer à la clarté de la lampe qui l'éblouissait mais il n'arrivait pas a voir les yeux de Fabrice il ne distinguait qu'une silhouette flou entourer d'un halo dorer.

-Je voulais juste savoir où tu allais!

Les pas de Fabrice, dont la voix devint plus tendre, raisonnait dans la pièce et se rapprochait de Julien:

-Si je ne t'avais pas remarquer à l'entrée j'aurais simplement fait demi-tour et je serais rentré chez moi.

Julien ne comprenait pas pourquoi Fabrice lui racontait ça mais il lui demanda quand même:

-Pourquoi avoir changer d'avis?

Son coeur battait si vite, qu'il avait l'impression qu'il allait bientôt s'arreter. Fabrice était maintenant si près qu'il croyait faire un rêve. Jamais Julien n'aurait pensé pouvoir se rapprocher autant de son ainé. Bientôt son rêve s'évanouis lui rappelant que Fabrice ne l'avais attiré dans ce local que pour lui faire une farce, s'amuser en l'effrayent et qu'il allait peut etre aller jusqu'a l'humilié pour finir sa plaisanterie.
Fabrice fixait Julien et il voyait la peur sur son visage:

-C'est pour toi que je suis rester. Voilà un an que je t'observe, tu es gentil, populaire, beau tous le monde veux etre ton ami, moi comme tous mais tu ne me vois pas.

Un éclair de tristesse passa dans ses yeux remplacer immédiatement par de la détermination.
Devant un tel aveu, Julien en oublia son désir de fuir, il regarda Fabrice d'un air ahuri et dit:

-Qu'est ce que ça veut dire, je ne comprend pas?

Julien essayait de se souvenir d'un moment où leur regard se serait croisé mais il n'en trouva pas. A haque fois qu'il observait son ainé il était à la fenètre de sa classe quand Fabrice faisait du sport.
Fabrice se planta face à julien, plaquant ses deux main de chaque coté de son visage sur le battant de la porte.

-C'est pourtant clair! Je voulais te punir et t'humilié. Je voulais que tu te sent sale et que tu ne regard que moi. Je voulais que plus personne ne te ragard. C'est pour ça que je suis venu ici je pensait que tu allait me suivre.

Julien tremblait de tous ses membres, son cervaux commençait juste a comprendre et au lieu de repousser Fabrice et de s'en éloigné il lui demanda non sans une certaine apréhension:

-Tu étais jaloux? c'est pour ça que tu m'a attirer ici? Fabrice est ce que tu m'aime?

Fabrice secoua la tête et serra les poing contre le métal froid de la porte:

-Moi! Je ne suis pas jaloux.

Oubliant ses émotions, Julien fit quelque chose qui ne lui serais jamais venu a l'esprit en temps normal, il passa ses bras autour du cou de Fabrice et chercha ses lèvre pour y déposer un baiser.
Malgré la surprise, Fabrice se redressa et entoura Julien de ses bras pour se sentir contre lui.
Julien mit fin au baisser et s'écarta de Fabrice pour lui avouer:

-J'ai toujours voulu faire ça. Quand je le pouvais je te regardais mais tu étais si populaire, célèbre même que je me sentais bien incapable de te parler, Je pensais que tu ne me verrais jamais, toi capitaine de l'équipe d'athlétisme moi un étudiant de 1ère année on était incompatible. J'en étais même arriver à me dire qu'il serais mieux que je t'oublie.

Fabrice resserra son étreinte autour de Julien, en lui murmurant "je t'aime",qui s'y blotti  sans resistance en lui avouant:

-Je t'aime aussi.

Pendant que dans les rues, des enfants déguisés frappait aux portes reclamant des bonbons et que dans le gymnase des centaines d'étudiant dansait sur des rythmes endiablés, Julien était étendue sur un tapis de gym, enlacés dans les bras de Fabrice, a l'intérieur de l'endroit qui deviendrait leur nid d'amour et garderait le secret de leurs étreintes passionnés.

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